Transition vers des pratiques durables
Transition vers des pratiques durables
Les entreprises des marchés émergents constituent une source de diversification pour les investisseurs à la recherche d'un portage élevé, d'un rendement stable et d'une faible rotation du portefeuille
Actualité
- Mobiliser des financements pour une transition vers des pratiques durables
- Donner aux acteurs du changement les moyens d’agir
- Partenariat avec l'IFC
- Dette émergente : Solidité, résilience et opportunité
Notre philosophie
Contrairement aux stratégies ESG standard qui privilégient souvent les obligations labelisées « green bonds » ou liées au développement durable ou social, notre stratégie de dettes émergentes axée sur les obligations privées adopte une approche plus globale et plus flexible qui cible les entreprises affichant de véritables objectifs de développement durable, avec des projets de développement crédibles et des ambitions claires.
Cette stratégie cherche à identifier les entreprises présentant un potentiel d'amélioration tangible avec l’appui de notre plateforme de recherche crédit.
Elle sélectionne des investissements répondant aux exigences élevées de l'Article 9 du règlement SFDR qui impose un degré élevé de transparence, de responsabilité et l'alignement sur les Objectifs de développement durable des Nations Unies.
Pourquoi investir dans la dette durable des marchés émergents ?
Cette stratégie vise à orienter les capitaux vers des émetteurs des marchés émergents qui remplissent des critères de durabilité mais ne sont pas labellisés. Grâce à une recherche rigoureuse, à un engagement actif et à une allocation stratégique du capital, nous cherchons à avoir un impact sur les marchés émergents, tant sur le plan environnemental que social, et à offrir des performances ajustées du risque potentiellement attractives à long terme.
- Des positions diversifiées sur des entreprises des marchés émergents
- Un moyen de capter une part significative de l’amélioration (et de la hausse potentielle d’appréciation) de ces sociétés
- Un faible taux de rotation annuel (30 à 50 % par an), qui contribue à préserver les investisseurs des coûts de transaction souvent associés aux investissements sur les marchés émergents
Risques principaux
Le capital n'est pas garanti. Il est rappelé aux investisseurs que la valeur des parts et des revenus y afférant peut fluctuer à la hausse comme à la baisse et qu’ils peuvent ne pas récupérer l’intégralité du capital investi.
Risque de durabilité : "risque en matière de durabilité": un événement ou une situation dans le domaine environnemental, social ou de la gouvernance qui, s’il survient, pourrait avoir une incidence négative importante, réelle ou potentielle, sur la valeur de l’investissement.
Risque de change: Le risque de change est le risque de baisse des devises d’investissement par rapport à la devise de référence du portefeuille. Les variations des taux de change entre les devises peuvent avoir un impact significatif sur la performance des produits présentés.
Risque de contrepartie: L'OPC est exposé au risque de contrepartie résultant de l'utilisation de contrats financiers à terme de gré à gré et/ou de l'acquisition et cessions temporaires de titres. Il s'agit du risque que la contrepartie avec laquelle un contrat a été conclu ne tienne pas ses engagements (livraison, paiement, remboursement...). Dans ce cas, la défaillance de la contrepartie pourrait entraîner la baisse de la valeur liquidative de l'OPC.
Risque de liquidité : La liquidité est une mesure de la facilité avec laquelle un investissement peut être converti en espèces sans perte de capital et/ou revenu dans le processus. La valeur des actifs peut être impactée de manière significative par le risque de liquidité dans de conditions de marché défavorables.
Risque opérationnel : Les principaux risques sont liés aux défaillances des systèmes et des procédures. Les processus d’investissement sont contrôlés via des fonctions indépendantes chargées du contrôle des risques ; ils font l’objet d’audits indépendants et sont supervisés par leur autorité de régulation des marchés financiers.
Instruments financiers dérivés : La valeur des contrats sur produits dérivés dépend de la performance d’un actif sous-jacent. Un léger changement dans la valeur de l’actif sous-jacent peut donner lieu à une modification importante de la valeur de l’instrument dérivé. Contrairement aux instruments dérivés réglementés et négociés sur une bourse, les instruments dérivés négociés de gré à gré sont assortis d’un risque de crédit associé à la contrepartie ou l’établissement effectuant la négociation.
Risque des pays émergents : Il est rappelé que les investissements réalisés dans les marchés émergents présentent par leur nature un plus grand risque et sont plus volatiles que ceux effectués dans les pays développés. Les marchés ne sont pas toujours bien réglementés ou efficaces et les investissements peuvent être frappés de liquidité réduite.
Risque des taux d'intérêt: Le fonds est soumis au risque de fluctuation des taux d'intérêts. Ainsi, en cas de hausse des taux d'intérêt, la valeur de ces titres chute, entraînant une baisse de la valeur liquidative du fonds.
Risque de crédit: Les émetteurs de titres de créance peuvent ne pas honorer leurs obligations de paiement régulier des intérêts et/ou de remboursement du capital. Tous les instruments de crédit sont donc soumis au risque de défaillance. Les titres à plus haut rendement présentent une plus grande probabilité de défaillance.
Contingent Convertible Security (CoCo) : Titres hybrides qui absorbent les pertes lorsque le capital de l'émetteur franchit à la baisse un certain niveau. Dans certaines circonstances, les Cocos peuvent être converties en actions de la société émettrice, potentiellement à un prix plus faible, ou bien en subissant une perte totale du capital investi.
Toute souscription dans un OPC présenté dans ce document doit se faire sur la base du prospectus en vigueur et le cas échéant du DIC en vigueur, disponibles sur simple demande auprès de HSBC Asset Management, de l'agent centralisateur, du service financier ou du représentant habituel. En complément du Document d'Informations Clés (DIC) en vigueur, les investisseurs potentiels doivent se référer au prospectus pour une information détaillée au sujet des risques associés à chaque OPC présenté.